Post by bot on Feb 1, 2011 0:16:25 GMT -5
Just the Facts: Harper’s real economic record / Rien que les faits : Le bilan économique réel de Harper
[LE FRANÇAIS SUIT L'ANGLAIS]
For Immediate Release
January 31, 2011
While Finance Minister Jim Flaherty embarks on his latest taxpayer-funded public relations blitz far away from the scrutiny of Parliament Hill, here is how the Conservatives’ record really adds up:
Jobs lost:
Minister Flaherty’s September 2010 economic report card wrongly claimed that all of the jobs lost during the recession in Canada have now been recouped. Stephen Harper also made this incorrect claim last week when he said, “There are more people working today than were working when the recession began. We’ve recovered all our jobs and a bit more, and we are virtually the only developed country in the world to be in that kind of a position.” (Stephen Harper, The Hill Times, January 31, 2011)
We now know that this is not true. New job numbers released last week showed that from October 2008 to December 2010, there are 109,000 fewer full-time jobs and nearly 300,000 more unemployed Canadians.
Slow to get stimulus money out the door:
One of the reasons why unemployment is so high is the government’s failure to get stimulus funding to Canadians who needed jobs at the height of the recession. During the 2009/10 fiscal year, at the height of the recession, these four programs spent far less than their annual allocations:
Infrastructure Stimulus Fund: Only 25% spent
Building Canada Fund – Major Infrastructure: Only 30% spent
Green Infrastructure Fund: Only 3% spent
Recreational Infrastructure Canada (RInC): Only 51% spent
Families squeezed by personal debt:
The typical Canadian family now owes almost $1.50 for every single dollar of disposable income – an average of $96,000 in debt per family.
Canadian households are now the most indebted of the 20 most advanced countries in the OECD, including the United States, leaving Canadians especially vulnerable to economic shocks.
Personal bankruptcy rates are up more than 33%.
Minister Flaherty brags about tightening mortgage rules, but he’s responsible for allowing 40-year mortgages and mortgages with zero down-payment.
Families squeezed by learning costs:
UNICEF ranked Canada dead last in quality and access to childcare.
Two-thirds of parents now believe they will be unable to afford post-secondary education for their children.
Student borrowing from the federal government has reached a record high.
16% of low-income students now plan to delay additional studies because of debt.
Families squeezed by family care and health care costs:
Canadian families are paying 29% more for out-of-pocket health care expenses, e.g. prescription drugs and private insurance.
In the absence of federal leadership in health, families are increasingly relying on each other for care.
Family caregivers provide 80% of homecare services.
Over 40% of family caregivers use personal savings to survive.
Families squeezed by retirement:
25% more seniors are struggling to live on low incomes.
75% of Canadians working in the private sector today are without a pension plan.
The Conservatives have failed to protect the pensions and disability benefits of Canadians whose companies go bankrupt.
Stephen Harper has no effective plan to reform pensions or strengthen the Canada/Quebec Pension Plan.
Record Conservative debt:
After just five years of Harper, a $13-billion Liberal surplus has become a $56-billion Conservative deficit – the worst ever.
PBO projects more than five years of red ink to come as the Conservatives are adding more than $200 billion to the federal debt.
Harper took the country into deficit before, not because of, the recession by excessive spending at almost three times the rate of inflation and by recklessly eliminating Liberal fiscal shock absorbers.
Misguided Conservative spending priorities:
$21 billion on untendered stealth fighters
$10-13 billion on US-style mega prisons
$6 billion per year on extra tax breaks for the largest corporations
$1 billion on G20 extravagance and waste
-30-
Contact:
Press Office
Office of the Leader of the Opposition
613-996-6740
--------------------------------------------------------------------------------
Pour diffusion immédiate
Le 31 janvier 2011
Alors que le ministre des Finances, Jim Flaherty, met en branle sa plus récente campagne de relations publiques aux frais des contribuables et cela loin des regards inquisiteurs de la Colline parlementaire, voici comment se chiffre vraiment le bilan des conservateurs :
Les emplois perdus :
Dans son rapport d’étape sur le budget présenté en septembre 2010, le ministre Flaherty soutenait à tort que tous les emplois qui avaient été perdus pendant la récession au Canada avaient été recouvrés. Stephen Harper a répété cette affirmation erronée la semaine dernière lorsqu’il a fait la déclaration suivante : « Il y a plus de gens qui travaillent aujourd’hui qu’il y en avait au début de la récession. Nous avons recouvré tous les emplois perdus et nous en avons créés un peu plus. Nous sommes pratiquement le seul pays développé au monde dans une telle position. » (Stephen Harper, The Hill Times, le 31 janvier 2011).
Nous savons aujourd’hui que cela n’est pas vrai. Des nouvelles statistiques publiées la semaine dernière démontrent qu’il y avait en réalité 109 000 emplois à temps plein en moins et près de 300 000 Canadiens de plus au chômage d’octobre 2008 à décembre 2010.
Le long délai de livraison des fonds de relance économique :
L’une des raisons qui expliquent pourquoi le taux de chômage est si élevé est le long délai de livraison des fonds de relance aux Canadiens qui avaient besoin d’emplois au plus fort de la récession. Au cours de l’exercice 2009-2010, soit au plus fort de la récession, les quatre programmes ci-dessous ont déboursé bien moins que leurs allocations annuelles :
Fonds de stimulation de l’infrastructure : seulement 25 % ont été déboursés
Fonds Chantiers Canada - Grandes Infrastructures : seulement 30 % ont été déboursés
Fonds pour l’Infrastructure verte : seulement 3 % ont été déboursés
Programme Infrastructure de loisirs du Canada : seulement 51 % ont été déboursés
Les familles canadiennes croulent sous le poids de l’endettement personnel :
La dette de la famille canadienne moyenne représente près de 1,50 $ de chaque dollar de revenu disponible - soit une dette moyenne de 96 000 $ par famille.
Le niveau d’endettement du ménage canadien est désormais le plus élevé parmi les 20 pays les plus développés de l’OCDE, y compris les États-Unis, ce qui rend les Canadiens particulièrement vulnérables en cas de crise économique.
Le taux de faillites personnelles a augmenté de plus de 33 %.
Le ministre Flaherty se vante de resserrer les règles hypothécaires, alors que c’est lui qui est responsable d’avoir permis l’amortissement hypothécaire sur 40 ans ainsi que des hypothèques sans mise de fonds.
Les familles croulent sous le poids du coût de l’éducation :
UNICEF a classé le Canada en toute dernière place en ce qui a trait à la qualité et à l’accès des services de garde à l’enfance.
Les trois quarts des parents croient aujourd’hui qu’ils n’auront pas les moyens de payer les droits de scolarité de l’éducation postsecondaire de leurs enfants.
Le montant des prêts d’études obtenus du fédéral a atteint un niveau record.
Seize pour cent des étudiants à faible revenu prévoient maintenant remettre à plus tard la poursuite de leurs études en raison de leur endettement.
Les familles croulent sous le poids du coût des soins familiaux et de santé :
Les familles canadiennes paient 29 % de plus sur une liste de plus en plus longue de frais pour des soins de santé non couverts, comme les médicaments sur ordonnance et les assurances privées.
En l’absence de leadership de la part du fédéral en matière de santé, les familles dépendent de plus en plus sur leurs membres pour leur prodiguer des soins.
Les aidants naturels comptent pour 80 % des soins prodigués à domicile.
Plus de 40 % des personnes qui prodiguent des soins à des membres de leur famille puisent dans leurs économies pour survivre.
Les familles s’inquiètent de leur retraite :
Il y a aujourd’hui 25 % plus d’aînés qui vivent de peine et de misère avec un faible revenu.
75 % des Canadiens œuvrant dans le secteur privé n’ont pas de régime de retraite.
Les conservateurs n’ont pas protégé les pensions et les prestations d’invalidité des Canadiens dont l’employeur fait faillite.
Stephen Harper n’a pas de plan efficace pour la réforme des pensions, ni pour le renforcement du Régime des pensions du Canada/du Québec.
La dette record des conservateurs :
Après 5 ans seulement sous Harper, l’excédent budgétaire libéral de 13 milliards de $ est devenu un déficit conservateur de 56 milliards de $ - un déficit record.
Le directeur parlementaire du budget prévoit encore plus de 5 ans de déficit budgétaire - les conservateurs ajoutent plus de 200 milliards de $ à la dette fédérale.
Harper a mené le pays au déficit avant la récession, et non à cause d’elle, par des dépenses excessives à un taux de près de trois fois le taux d’inflation et en éliminant imprudemment les « amortisseurs » fiscaux des libéraux.
Priorités de dépenses mal inspirées des conservateurs:
21 milliards de $ pour l’achat d’avions de chasse sans appel d’offres
10 à 13 milliards de $ pour construire des mégaprisons à l’américaine
6 milliards de $ par ans pour des allègements fiscaux additionnels pour les grandes entreprises
1 milliard de $ dépensés sur des extravagances lors du G20
-30-
Renseignements :
Service de presse
Cabinet du chef de l’Opposition
613-996-6740
[LE FRANÇAIS SUIT L'ANGLAIS]
For Immediate Release
January 31, 2011
While Finance Minister Jim Flaherty embarks on his latest taxpayer-funded public relations blitz far away from the scrutiny of Parliament Hill, here is how the Conservatives’ record really adds up:
Jobs lost:
Minister Flaherty’s September 2010 economic report card wrongly claimed that all of the jobs lost during the recession in Canada have now been recouped. Stephen Harper also made this incorrect claim last week when he said, “There are more people working today than were working when the recession began. We’ve recovered all our jobs and a bit more, and we are virtually the only developed country in the world to be in that kind of a position.” (Stephen Harper, The Hill Times, January 31, 2011)
We now know that this is not true. New job numbers released last week showed that from October 2008 to December 2010, there are 109,000 fewer full-time jobs and nearly 300,000 more unemployed Canadians.
Slow to get stimulus money out the door:
One of the reasons why unemployment is so high is the government’s failure to get stimulus funding to Canadians who needed jobs at the height of the recession. During the 2009/10 fiscal year, at the height of the recession, these four programs spent far less than their annual allocations:
Infrastructure Stimulus Fund: Only 25% spent
Building Canada Fund – Major Infrastructure: Only 30% spent
Green Infrastructure Fund: Only 3% spent
Recreational Infrastructure Canada (RInC): Only 51% spent
Families squeezed by personal debt:
The typical Canadian family now owes almost $1.50 for every single dollar of disposable income – an average of $96,000 in debt per family.
Canadian households are now the most indebted of the 20 most advanced countries in the OECD, including the United States, leaving Canadians especially vulnerable to economic shocks.
Personal bankruptcy rates are up more than 33%.
Minister Flaherty brags about tightening mortgage rules, but he’s responsible for allowing 40-year mortgages and mortgages with zero down-payment.
Families squeezed by learning costs:
UNICEF ranked Canada dead last in quality and access to childcare.
Two-thirds of parents now believe they will be unable to afford post-secondary education for their children.
Student borrowing from the federal government has reached a record high.
16% of low-income students now plan to delay additional studies because of debt.
Families squeezed by family care and health care costs:
Canadian families are paying 29% more for out-of-pocket health care expenses, e.g. prescription drugs and private insurance.
In the absence of federal leadership in health, families are increasingly relying on each other for care.
Family caregivers provide 80% of homecare services.
Over 40% of family caregivers use personal savings to survive.
Families squeezed by retirement:
25% more seniors are struggling to live on low incomes.
75% of Canadians working in the private sector today are without a pension plan.
The Conservatives have failed to protect the pensions and disability benefits of Canadians whose companies go bankrupt.
Stephen Harper has no effective plan to reform pensions or strengthen the Canada/Quebec Pension Plan.
Record Conservative debt:
After just five years of Harper, a $13-billion Liberal surplus has become a $56-billion Conservative deficit – the worst ever.
PBO projects more than five years of red ink to come as the Conservatives are adding more than $200 billion to the federal debt.
Harper took the country into deficit before, not because of, the recession by excessive spending at almost three times the rate of inflation and by recklessly eliminating Liberal fiscal shock absorbers.
Misguided Conservative spending priorities:
$21 billion on untendered stealth fighters
$10-13 billion on US-style mega prisons
$6 billion per year on extra tax breaks for the largest corporations
$1 billion on G20 extravagance and waste
-30-
Contact:
Press Office
Office of the Leader of the Opposition
613-996-6740
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Pour diffusion immédiate
Le 31 janvier 2011
Alors que le ministre des Finances, Jim Flaherty, met en branle sa plus récente campagne de relations publiques aux frais des contribuables et cela loin des regards inquisiteurs de la Colline parlementaire, voici comment se chiffre vraiment le bilan des conservateurs :
Les emplois perdus :
Dans son rapport d’étape sur le budget présenté en septembre 2010, le ministre Flaherty soutenait à tort que tous les emplois qui avaient été perdus pendant la récession au Canada avaient été recouvrés. Stephen Harper a répété cette affirmation erronée la semaine dernière lorsqu’il a fait la déclaration suivante : « Il y a plus de gens qui travaillent aujourd’hui qu’il y en avait au début de la récession. Nous avons recouvré tous les emplois perdus et nous en avons créés un peu plus. Nous sommes pratiquement le seul pays développé au monde dans une telle position. » (Stephen Harper, The Hill Times, le 31 janvier 2011).
Nous savons aujourd’hui que cela n’est pas vrai. Des nouvelles statistiques publiées la semaine dernière démontrent qu’il y avait en réalité 109 000 emplois à temps plein en moins et près de 300 000 Canadiens de plus au chômage d’octobre 2008 à décembre 2010.
Le long délai de livraison des fonds de relance économique :
L’une des raisons qui expliquent pourquoi le taux de chômage est si élevé est le long délai de livraison des fonds de relance aux Canadiens qui avaient besoin d’emplois au plus fort de la récession. Au cours de l’exercice 2009-2010, soit au plus fort de la récession, les quatre programmes ci-dessous ont déboursé bien moins que leurs allocations annuelles :
Fonds de stimulation de l’infrastructure : seulement 25 % ont été déboursés
Fonds Chantiers Canada - Grandes Infrastructures : seulement 30 % ont été déboursés
Fonds pour l’Infrastructure verte : seulement 3 % ont été déboursés
Programme Infrastructure de loisirs du Canada : seulement 51 % ont été déboursés
Les familles canadiennes croulent sous le poids de l’endettement personnel :
La dette de la famille canadienne moyenne représente près de 1,50 $ de chaque dollar de revenu disponible - soit une dette moyenne de 96 000 $ par famille.
Le niveau d’endettement du ménage canadien est désormais le plus élevé parmi les 20 pays les plus développés de l’OCDE, y compris les États-Unis, ce qui rend les Canadiens particulièrement vulnérables en cas de crise économique.
Le taux de faillites personnelles a augmenté de plus de 33 %.
Le ministre Flaherty se vante de resserrer les règles hypothécaires, alors que c’est lui qui est responsable d’avoir permis l’amortissement hypothécaire sur 40 ans ainsi que des hypothèques sans mise de fonds.
Les familles croulent sous le poids du coût de l’éducation :
UNICEF a classé le Canada en toute dernière place en ce qui a trait à la qualité et à l’accès des services de garde à l’enfance.
Les trois quarts des parents croient aujourd’hui qu’ils n’auront pas les moyens de payer les droits de scolarité de l’éducation postsecondaire de leurs enfants.
Le montant des prêts d’études obtenus du fédéral a atteint un niveau record.
Seize pour cent des étudiants à faible revenu prévoient maintenant remettre à plus tard la poursuite de leurs études en raison de leur endettement.
Les familles croulent sous le poids du coût des soins familiaux et de santé :
Les familles canadiennes paient 29 % de plus sur une liste de plus en plus longue de frais pour des soins de santé non couverts, comme les médicaments sur ordonnance et les assurances privées.
En l’absence de leadership de la part du fédéral en matière de santé, les familles dépendent de plus en plus sur leurs membres pour leur prodiguer des soins.
Les aidants naturels comptent pour 80 % des soins prodigués à domicile.
Plus de 40 % des personnes qui prodiguent des soins à des membres de leur famille puisent dans leurs économies pour survivre.
Les familles s’inquiètent de leur retraite :
Il y a aujourd’hui 25 % plus d’aînés qui vivent de peine et de misère avec un faible revenu.
75 % des Canadiens œuvrant dans le secteur privé n’ont pas de régime de retraite.
Les conservateurs n’ont pas protégé les pensions et les prestations d’invalidité des Canadiens dont l’employeur fait faillite.
Stephen Harper n’a pas de plan efficace pour la réforme des pensions, ni pour le renforcement du Régime des pensions du Canada/du Québec.
La dette record des conservateurs :
Après 5 ans seulement sous Harper, l’excédent budgétaire libéral de 13 milliards de $ est devenu un déficit conservateur de 56 milliards de $ - un déficit record.
Le directeur parlementaire du budget prévoit encore plus de 5 ans de déficit budgétaire - les conservateurs ajoutent plus de 200 milliards de $ à la dette fédérale.
Harper a mené le pays au déficit avant la récession, et non à cause d’elle, par des dépenses excessives à un taux de près de trois fois le taux d’inflation et en éliminant imprudemment les « amortisseurs » fiscaux des libéraux.
Priorités de dépenses mal inspirées des conservateurs:
21 milliards de $ pour l’achat d’avions de chasse sans appel d’offres
10 à 13 milliards de $ pour construire des mégaprisons à l’américaine
6 milliards de $ par ans pour des allègements fiscaux additionnels pour les grandes entreprises
1 milliard de $ dépensés sur des extravagances lors du G20
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Renseignements :
Service de presse
Cabinet du chef de l’Opposition
613-996-6740